quoi, encore!
Et dire que des gens avivent nos peurs pour réchauffer les pieds de leur confort!
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Que suis-je venu te dire ici, que tu ne sais-je déjà, toi l'aîné!
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Faut-il ne pas croire sur parole ce Monsieur parce que l'on dit qu'il s'habille sur mesure?
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Sortir de leur Haute Ecole du Dénigrement avec sceptre et couronne, telle ne doit pas être ta seule ambition.
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Marcher la tête bien haute pour que l’on ne voit point qu’elle est toute petite.
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Je sais que la meilleure intention d’image peut se casser la figure dans une flaque d’improbable rhétorique.
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A malin, malin et demi et puis quoi, encore ! Ne t'attarde donc pas.
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Quand je pense que certains appellent quatrième de couverture ce qui n’est que le dos d’un livre, et un dos parfois sans grâce, tout râpeux, filandreux même !
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Les livres, toujours les livres ! Mais celui qui aime les livres n’en parle pas, il n’élève pas la voix, il prend d’abord la peine –et c’est vrai que c’est de la peine- à les lire.
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On n’a jamais vu une bouteille de champagne courir après son bouchon. Elle préfère se vider dans une coupe ou une flûte, sans trop faire d’écume. Ouais ! C’est vous qui le dites, moi, je vois, et je ne titube pas (du moins pas encore), ouais ! Je vois une bouteille qui courait derrière un bouchon, futur ex-champion du monde de Formule 1 à Liège.
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La mémoire et la mer, de Léo Ferré, je trouve que ça reste top !
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Imaginer Churchill sans son cigare, c’est imaginer de Vinci sans sa Joconde, et Vélazquez sans ses Ménines. Il n’est donc pas excessif de soutenir que le chef d’œuvre de Churchill est son cigare.
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En hiver, il y a toujours de faux scientifiques pour mettre en doute les compétences hématologiques des moustiques. Les mêmes qui s’attachent à démontrer la non existence du père Noël.
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Avez-vous lu Les Mots de Jean-Paul Sartre, Le meurtre d’un enfant de Jean Cau et Le Roi des rats de Maurice Frot ? En cas de réponse négative, demandez-vous :
« Qui suis-je ? »
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Au diable l’avarice, si vous êtes plein aux ases !
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Et si être contemporain, c’était être content pour rien ?
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