Perdre la tête, pour eux? Une fois, et plus.

Perdre la tête, pour eux? Une fois, et plus. Depuis, je vais en amour comme en politique, décapitée.

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Tous veulent mon bonheur, je serais donc le seul à me prononcer contre?

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Et si un charmeur de serpents était plus utile à la société qu'un expert financier? Je me pose la question. Inutile d'y répondre à ma place?

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Celle-là attifez-là comme vous voudrez vous ne réussirez pas à me la faire kiffer!

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Aurions-nous fait le tour de la boucle, puisque c'est le noir et blanc qui, maintenant, donne des couleurs au cinéma?

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Il avait un métier, l'hôtelerie. Il avait une passion, le jazz. Bien plus qu'un hobby. Il en jouait, il en écoutait, il en conseillait. mémoire du jazz à Perpignan. Il avait été pianiste et s'appelait Charles Brousse. Un homme, élégant et discret. le sourire toujours doux, la main concrète, je veux dire fraternelle!

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Claude Massé fait partie des gens les mieux informés de sa région. Rien ne lui échappe, tout lui parvient. Il est à la bonne loge. Je le remercie de m'avoir parlé dans les meilleurs termes d'André Robèr.  Originaire de l'île de la Réunion, ce peintre, écrivain, et éditeur est installé depuis 2005 à Ille-sur-Tet (66000)  En filant sur son triple www pour y goûter un, j'ai relevé ce propos: "La plus belle chose ou la pire qui me soit arrivée c'est que je m'installe dans le village d'Ille-sur-Têt. Je suis avant tout réunionnais avant d'être français, mon travail d'éditeur et mon oeuvre son porteurs du même cheminement puisque j'édite essentiellement du créole ou des études sur des problématiques insulaires." Ainsi, grâce à André Robèr, la patrie du grand poète catalan Josep Sebatià Pons, se fait une place dans l'histoire de la poésie créole réunionnaise et même de la littérature anarchiste. Les éditions K'A  qu'il dirige ont déjà publié une dizaine de livres (la plupart en créole) dont deux volumes  de textes  "Art & Anarchie"

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