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Met Barran
13 février 2015

DEUX NOUVEAUTES

ART WARNING.

Nous en avions déjà parlé. Mais, le monde d'une exposition comme l'autre monde ne se construit pas sur un simple coup de baguette magique. Il a fallu attendre, nous avons attendu. Maintenant ça y est. On peut commencer à voir...apprécier et commenter. Objectif atteint!

"Le 12 février, l’artiste contemporain français Klaus Guingand lance mondialement ». Art warning the world » l’œuvre d’art globale qui réunit le monde pour défendre la liberté. Cette œuvre qui s’adresse à chaque humain, chaque Nation réunie 200 pays, 202 artistes, 202 œuvres, 202 vidéos, 202 photos et 135 langues Nationales. C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une œuvre réunit le monde." 

Klaus Guingand est un artiste contemporain (sans domicile fixe) reconnu depuis vingt ans pour son œuvre sur l’ombre. Créateur de « Art warning the world » il représente la France.

Art warning the world est une œuvre d’art globale pour la défense de la liberté créée par l’artiste Klaus Guingand avec la participation de 201 artistes vivants dans 200 pays différents. Chaque artiste vit dans son pays. Pour produire cette œuvre Klaus Guingand a commencé (mi-juillet 2012) à chercher (durant 20 mois) un artiste visuel dans chaque pays du monde afin de l’invité à se joindre à lui pour créer cette œuvre hors norme. Chaque artiste a traduit dans sa langue nationale cet avertissement de Klaus Guingand:  "Quand le mot liberté disparaîtra des dictionnaires, il sera trop tard pour réagir. » puis l’a inscrit (peinture ou autres) sur son drapeau national. Chaque artiste a réalisé l’œuvre destinée aux citoyens son pays, une vidéo et une photo.( Extrait d'un communiqué de presse)

Depuis le 12 février, le public peut découvrir la vidéo de l'oeuvre sur le site web: www.art-warning-the-world.net. Par la suite des expositions seront programmées en France et à l’étranger.

Parmi ses 201 artistes représentants les quatre coins du monde se trouve MARCEL VILLE, un peintre perpignanais, très légitimement sélectionné, faisant vibrer sur son drapeau sa si chère langue gitane calo. ( A suivre)

CREME CATALANE.

Elle nous avait été annoncée. Elle ne nous était pas servie. Trop grillée? Renversée, peut-être? Là encore, plutôt attendre que de désespérer trop vite. L'optimisme finit par payer. Puisque le premier N° de Crème catalane est sous nos yeux. On renifle, les papilles déjà se mettent en moi. Bon appétit. Et il y a bien de quoi. Mais il s'agit d'une publication, pas d'un simple dessert même si  on y fait une part plutôt belle à un "postre" indémodable, rolls-royce des douceurs de la table catalane. Cette publication se propose comme un "trimestriel" et fait entendre sa mélodie particulière dans cette devise "L'information est l'oxygène de la démocratie". Un format au carré et un "parcours" de 120 pages. Lisible, très lisible. Copieux, et pourtant bien aéré. Féconde alliance, textes et photos, des couleurs bienvenues. Perfectible, certainement. Une livraison pleine avec ses "Enquêtes", "Interviews", "Reportages", son "Grand Invité" (Nicolas Caudeville, présenté sur six pages comme le samouraï de la place Cassanyes, une "médiatisation" bien méritée d'un encore trop peu connu porteur de ébats) et, en continuant à égrener cet inaugural sommaire, "Décodage", "Histoire", "Portfolio", "Analyses'. On le voit on est (bien) en terres de (bonne) presse. Ce premier numéro est à la fois, soulignons- le, touffu... et étalé. Politique et... gastronomique. Paysan et... urbain. Principalement local mais avec de petites ouvertures sur le "toutmonde". Il s'accroche -autant que faire se peut (mais un trimestriel n'est pas un quotidien)- à l'actualité(12 clichés sur la manif tour de ville "je suis Charlie") tout en taillant ses habits d'apparat dans les tissus du patrimoine culturel et architectural, ou de la tradition. Cette dernière,  bacchique selon Saint Ambré de Rivesaltes ou religieuse selon La (romeufontaine) Moreneta. Crème catalane est là avec profession de foi et...recettes. A boire (bon)  et à (bien) manger. On attend ses prochains services jouant- comme ici- les cartes de la diversité des thèmes, ainsi que des goûts et des saveurs (sinon de la tarte à la crème des valeurs), picorant  dans les modes et les paysages, et ne rougissant (pourquoi donc?) d'aucun appel publicitaire. Il y a sur les pages et dans les colonnes de la dernière-née des publications roussillonaises du descriptif, du narratif, de l'émotif, de l'esthétique, du pédagogique. L'oeil y trouve satisfaction, l'esprit ne s'y ensommeille jamais...On y est épicurien et lucide. Mais ne mégotez ni sur le poivre ni sur le sel. Difficile, toutefois, dans son impatience à exister entre des Terres Catalanes et un Cap Catalogne, d'échapper à quelques coins ou reflets d'image d'épinal: Perpignan ville nombril, avant-hier, hier, fleur de rétroviseur, Canigou,  idole qui s'entête à empêcher d'apercevoir que les P.O. c'est aussi... la Mer, ou encore cet enrobement d'une catalanité light qui marie dans un (louche) surréalisme sur sa Couve le nom du support Crème catalane avec l'"histoire catalane" de Manuel Valls. Crème Catalane: c'est une douzaine de signatures de rédacteurs et de photographes, autour de Fabrice Thomas, leur rédacteur en chef, journaliste bien connu par ses expériences de titres, par son style et son éthique d'écriture ainsi que par l'animation  de son blog c'est P.O.litique dans toutes les paroisses, communautés et autres familles qui s'intéressent à une information qui ne soit pas lavasse.

Crème catalane. 2800, rue James Watt. Technosud. 66 100 Perpignan.Tél.: 06 08 13 59 55. Mail: cremecatalane@orange.fr

VOUS & NOUS

xxx

 

 

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