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Met Barran
15 février 2017

"En conséquence"

Le souhait du peut-être il fera beau est plus crédible que celui du il fera toujours beau.

Quelle ne fut pas la surprise du pêcheur que de se voir accroché à l'hameçon! Mais qui donc l'avait ferré, se torturait-il, dans le panier?

Nous sommes deux ou trois potes qui nous réunissons deux ou trois fois par mois, sous le porche du Rien Public, et travaillons aux statuts de l'association "Les prochains badins de la farce". La rédaction n'est pas facile mais nous progressons article après article, nous en sommes au 69...

Que serait l'empire des cloches sans carillon?

Candide, la neige tombée l'est, mais ne la piétinez pas trop. C'est un edelweiss qui vous parle!

Emprunté à Montaigne et offert à qui de droit: "revenir maussade et marmiteux du trafic des affaires". 

Tout piéton urbain passablement avisé évite le dit Pont des Soupirs.

Un tel m'écrit et me dit "j'écris donc je débroussaille". Un autre vient me voir et me dit "j'écris donc je sème". Je twitte à l'un de mes chers followers linkés -le premier ou le second des mentionnés- ces simples mots "j'écris donc je récolte". 

Qui trop s'obstine, s'abrutit!

A votre bon coeur, messieurs dames, je cherche des voix pour un candidat nécessiteux, une voix, une petite voix, une toute petite voix, mais une voix, à votre bon coeur, messieurs dames.

Il aimait la mousse du savon à barbe de Maman Mer.

L'érotisme véritable fait gazouiller les peaux et rassure les oiseaux.

A combien de décibels le droit à la tranquillité de mon voisin commencera-t-il a être entamé?

Il lui suffisait de regarder un objet à l'envers pour le remettre, devant nos yeux, à l'endroit. Simplement, magique!

Ce qu'il faut faire? Je sais, je sais ce qu'il faut faire mais... laissez-moi, donc, faire.-Oui, laissez-le faire. Il ne fera rien... tout en sachant ce qu'il faut faire.

Non, Monsieur, on ne pose pas une question comme l'on pose une poële a frire sur une plaque chauffante. Il faut être bien plus précautionneux, Monsieur, pour obtenir la réponse qui vous rassasiéra.

Difficile de prétendre que l'on peut se passer d'une résidence cathodique -permanente ou de vacances-mais bien souvent, par nos temps et climats, on s'y sent étrangers, agressés et expulsés.

Seuls les pensers puérils peuvent faire voler en éclats les langues de bois des experts commentateurs. 

En politique, chère Mado, il y a plusieurs légions de rôles de composition...et des vestiaires loués en conséquence.

Qui donc se cache derrière ce rideau de fumée dont il n'entrevoit, présentement, que la pointe d'une chaussure? Va-t-il lui apparaître dans une franche trouée ? Attend-il (ou Elle) que ce soit Lui qui le traverse?

Espère tant que tu voudras, rêves-en à toute blinde, jamais tu ne verras l'océan que dans la peau fluide d'un transporteur qui prend son temps, tu n'es que le sous-sous affluent de l'affluent de l'affluent d'une rivière, la seule dont le bras s'allonge jusqu'à toucher le rivage marin, espère tant que tu voudras, mon petit ru. (Ru quel joli mot! Ni rue, ni rut!)

Savez-vous pourquoi je note, aussitôt, ce qui me passe par la tête par crainte que ce ce ne veuille pas y repasser?

L'esthètique de tout règlement de comptes s'analyse en mil et un (plus ou moins) bobos.

Si en grande conjoncture de chômage, on se balance sur l'escarpolette de la fin du travail, c'est que l'on ne calcule pas bien la beauté du gadin qui attend.

On ne saurait édulcorer la violence, elle est ou elle n'est pas; quand elle est elle est (presque) toujours navrante.

Les gens qui ne s'étonnent de rien, rien ne prouve qu'ils savent quelque chose.

xxx

 

 

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Met Barran
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