Rentrée littéraire, tout comme
VOICI VINGT ET UN TITRES INVENDUS PARCE QU'INEXISTANTS D'UN GÉNIE ANONYME PATHOLOGIQUEMENT SCRIBOUILLARD ( MOT SIGNIFIANT ÉCRIT DANS LE BROUILLARD). UNE MANIÈRE DE CÉLÉBRER LA RENTRÉE LITTÉRAIRE ET LA COURSE AUX PRIX (COURSE DE LÉVRIERS OU COURSE DE GRENOUILLES?)
I) J'irai au VINGT HEURES cracher sur sa figure. Pamphlet
II) La vie est un tapis roulant, je marche à côté. Court traité de la dissidence
III) Éloge et Élégie du coup de pied au cul. Poème décasyllabique incontrôlé.
IV) Je l'ai, le reste je m'en fous. Précis d'égoïsme à l'usage de toutes les générations.
V) Nouvelles histoires d'eau par les Frères Sécheresse. Brefs dialogues en prose.
VI) Ni (et) rose ni (et) réséda. Contes coquins de l'ère macroniste.
VII) L'espérance baisse ses paupières. Longue méditation sur le cours des temps.
VIII) Dis-leur qu'ils ont raison, et taille-toi. Polar dans le style San Antonio.
IX) Le 7ème dîner des Boudeurs fut le bon. Parabole 1.
X) L'orage s'est paumé en chemin. Parabole 2.
XI) Avez-vous bien lu la vie de PATACHON? Contre-glose hagiographique.
XII) Ils savent ce qu'ils disent, ces cochons! Indignation au lendemain d'un contrôle fiscal.
XIII) La troupe ne défile jamais en chaussons. Apologie de l'exhibition militaire.
XIV) Les baloches des yeux sont des planques, bien sûr. Essai de théâtre de boulevard.
XV) Nuits de Chine en cellules de dégrisement. Notes pour une véritable histoire de la chanson.
XVI) Comme la tour de Pise, la République penche à droite. Pour démêler les rapports architecture et politique.
XVII) Sénat...ou C'est NA! Dissertation sur le rire , avec une nombreuse ponctuation.
XVIII) Craintive nuit, celle de la première pomme croquée... Mémoire d'une toute jeune fille.
XIX) La rouille ou ce brillant qui a pris congé. Essai sur les fadeurs du monde.
XX) De l'éphémérité de l'actualité. Une "histoire longue" est-elle toujours possible?
XXI) La transcendance comme forme d'évaporation. A la recherche d'une théologie moderne.
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