(trop) aboyer

"Un pâté de ruines suffit à l'appétit de nombreux touristes. Mais certains grignotent mieux l'antique que d'autres."

( Propos de guide, vraisemblables sinon absolument authentiques.)

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Le temps a passé et fait de nous des contemporains de nos arrière-grands parents.

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Ne jamais insulter la marmite des inconvenances.

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Espérer, espérer... ah! ça oui! Mais avec la pointe du soulier en avant!

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L'alchimiste: Purger l'obscur jusqu'à l'intime transparence. L'humoriste: Et se taper sur ventre avec un gros rire.

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Tout oiseau sait qu'il a des pattes...

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Quel est ce mot qui commence à germer sur ses fines lèvres?

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Jules, Jules Verne et pourquoi pas Bali, Bali Verne?

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Savoir rester assis sur une chaise dont on scie les pieds appelle de moins en moins d'applaudissements.

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Est-ce parce que tous les sons ne se ressemblent pas qu'il y a un tel brouhaha?

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"Les moeurs sont un collier de perles; ôtez le noeud, tout défile".

Le mot est de Restif de la Bretonne, je l'ai recueilli chez les Illuminés de Gérard de Nerval

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Il fait chaud, dès que je pose une idée, elle fond. J'arrête, je suis en nage et... ma provision s'amenuise.

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Il y a toujours un clebs qui saute sur nos mollets sans (trop) aboyer.

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"Mon coeur, Marquis, ne peut peut se satisfaire des modestes émoluments que vous lui consentez. Je vous lâche donc!"

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Venu de je ne sais où pour attraper n'importe quoi. L'avoir, c'est cela qui vaut!

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La vérité, cette banquise qui flotte et va au bon vouloir d'un thermomètre de circonstances!

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Ne nous reprochez pas ces petites phrases, ce sont les seuls dons que nous puissions faire pour l'heure. L'intention est bien là, ne nous fustigez pas, laissez vos avions au sol!

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