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Met Barran
16 septembre 2014

Le pot du voisin

Coupe de l'Elysée. Bientôt sommet de tennis en boules de bois. Sarquovazy contre Ollantienbon.

Le premier lecteur d'anglais que j'ai connu était Écossais, il s'appelait John Gillespie. Et fort sympathique, en kilt.

La politique ne vous amuse pas? Allez-vite chercher des champignons.

"Ce dont souffre, en Roussillon, la culture catalane, c'est de la francophilie des Catalans de Barcelone". Ce paradoxe, tombé des lèvres d'un Danois avec qui, récemment, je cueillais quelques figues, mérite d'être savouré pour sa chair et son jus de "coll de senyora" (de cou de madame) comme l'on dit chez nous.

Il paraît que le temps des sénatoriales n'est pas un temps à châtaignes. On le dit.

Comment faire, lorsque l'on se croit bien assis,  pour conserver son fauteuil au plus près de ses fesses, il est manifeste que la colle glu ne suffit plus.

Question empreinte d'une malsaine naïveté: Quelle est la taille d'un grand électeur?

Les bénévoles reçoivent moins de louanges que les appointés du bien public.

Avec tous les problèmes qui sont à résoudre on a du mal à croire qu'il y ait autant de chômeurs.

"Leblogabonnel" est un lieu fort visité. L'esprit tout court et l'esprit critique en particulier y soufflent à bon escient même si les tambours et trompettes ne sonnent pas à tous les vents. La littérature et les arts y sont dans la bonne note: j'informe, je critique aussi.

Un expert, c'est bien, mais peu. Deux, c'est mieux, mais peu, encore. Trois, alors là, si l'on n'entrevoit pas de solution, c'est que tout est bouché. Inutile d'en convoquer un quatrième, car le quartet serait capable d'inventer la belote.

Tout le monde -à quelques petits rossignols près- s'accorde à dire que l'on va dans le mur, alors à quoi bon descendre dans la rue, dépoitraillé ou en livrée, si c'est pour y découvrir l'impasse, la façade sans fenêtres qui nous dit  "Non, on ne passe pas."

Je suis MEDEF, tu es MEDEF, il est MEDEF, nous serons, vous serez, ils seront MEDEF. Ah! Non, pas ça! Pas, toi! Pourquoi!

Il a une perversité de la pensée qui va jusqu'à prétendre qu'il faut désespérer pour rebondir dans l'euphorie.

Comment dit-on, un rafale, une rafale? Est-ce un oiseau siffleur, ou un oiseau chanteur? Et quand il pond, s'il pond, où pond-il? Et quand il fiente, s'il fiente, le fait-il avec certains égards, dus au plus commun dénominateur des humains, la vie?

Faire la guerre par écrans interposés ce n'est pas faire la guerre mais jouer sans se faire rabrouer par ses parents quand on rentre avec le nez tuméfié, les genoux écorchés et la salopette déchirée.

Il rayonnait d'intelligence, je me suis rapproché de lui pour ressentuir le bienfait de quelques-uns de ses rayons et je me suis, subitement, trouvé projeté au loin, cramoisi. Moralité: S'approcher de l'Intelligent mais pas trop près!

La Catalogne sera-t-elle ou pas indépendante? La question est posée et la réponse mijote dans la marmite. Quel temps de cuisson? Explosera? Explosera pas? Certains guettent, d'autres se pressent déjà. Quelques uns s'éloignent, de peur que ce soit trop cuit ou trop cuisant. A cette heure, beaucoup d'esthètes sont satisfaits des magnifiques réalisations: performances, installations, mouvements de foule, expression directe spectaculaire. La Catalogne a remporté une bataille artistique, cathodique, électronique. Bataille, dites-vous, mais alors, c'est la guerre? Y aura-t-il des victimes, des héros et des traîtres? Moi, Monsieur, je ne fais pas de politique, surtout dans le pot du voisin.

Il y a des informations majeures qui ne sont pas dignement relayées. L'une touche aux frères ennemis du journalisme électronique, Luc Malepeyre et Fabrice Thomas. On peut penser ce que l'on voudra de l'un et de l'autre sur le plans des idées, mais difficile de retirer à l'un comme à l'autre un talent manifeste de réactivité, d'analyse et d'efficacité dans l'écriture. Luc Malepeyre a quitté son nid et joujou " OUILLADE.EU" pour un destin d'Agglomération, et Fabrice Thomas, toujours à bord du paquebot "c'est P.O.litique" et impatient d'armer d'autres vaisseaux, se voit obligé de reporter à plus tard (en octobre, nous dit-il) la mise à la voile latine de sa "CREME CATALANE".

Que l'équipe de rugby de ma paroisse, l'USAP soit tombé dans une cuvette, cela m'attriste et me révolte à la fois. Le sieur Rivière aurait pu tout de même les prévenir de l'existence d'un pareil piège géo-orographique montalbanais. Ah l'USAP! qui t'a vu et qui te voit! J'espère que la prochaine fois tu ne te noieras pas dans simple un verre d'eau. L'honneur d'une ville, d'un département, d'un pays sont en jeu. Ressaisissez-vous,  que diable!

 

Les frères ANTON & SINON NYMES

xxx

 

 

 

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