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Met Barran
24 septembre 2016

terrain d'aventures

Malgré le mode d'emploi, j'ai de la difficulté à dresser ma tente, alors comprenez ma peine à structurer une phrase, ma bonne tente à ânerie, que le premier souffle d'un lecteur dispersera.

Le désaccord est autant la condition d'un dialogue que la cause d'une querelle.

Il regarde la fenêtre. Un fin rideau bouge. Le silence s'installe. Il en découpe une tranche, il la goûte. Une silhouette apparaît. Il s'appuie sur le dossier de son fauteuil voltaire rouge. Il s'endort. Je me précipite hors de la pièce.

Vous comprendrez, je pense, que votre affaire n'étant pas prioritaire, nous l'ayions, cela fait quinze ans, mise de côté, puis que d'autres affaires aient subi, soumises à la question de la priorité, le même sort que le vôtre, et qu'elle se retrouve, non traitée, au plus bas de la pile. Vous le comprenez, n'est-ce pas?

Heureusement que de temps à autre deux ou trois géographes passent et secouent la lourde poussière des tapis nationaux brodés par les historiens. 

Etes-vous Stannah ou Otolift? interrogea le guichetier du Musée d'Escaliers d'Appartements.

Mes potes les cochons le savent bien, on leur jette bien moins de perles que ne le dit le proverbe.

Se mettre à la place d'un autre, on ne le peut pas, même si l'on est le tenant de la "transplantation d'organes".

Je n'ai jamais parié et je doute que l'on ait une fois parié sur moi, dit le vieux palefrenier au gentil petit écuyer qui vient voir sa prochaine monture.

Ah! Que les fleurs fanent vite dans les mains de l'impatient!

Qu'il se fasse fabuliste ou cartographe, je n'arrive pas à le suivre dans sa folie des labyrinthes. -A se demander, Monsieur le Journaliste, si vous ne préféreriez pas le suivre dans une folie de villes bombardées, dans une quelconque énième saga de l'amour dans les ruines.

L'aventure avec l'inconnu, c'est facile. Il suffit de laisser venir et faire. L'aventure avec l'habitude, c'est une autre paire de manches comme le dit la poésie populiste. Il faut y mettre du sien, beaucoup. Il faut le vouloir et s'y accrocher. On s'y voit forcé à plus de disponibilité, créativité et originalité. Mais si... l'habitude est un terrain d'aventures.

Peut-on rire de tout? La question est connue. La réponse ou contradictoire ou mitigée. Réfléchissant à celle que je pourrais y apporter, j'en ai trouvé et ramassé les élements tout en errant sur des terres naguère affermées à Dac & Blanche. " Bien sûr que l'on peut -et même doit- rire de tout mais pas tous les jours, car se serait trop épuisant."

A force de générosité et de conter fleurette à l'une ou à l'autre, le jardin de ses amours était comme glacé, désolé, crépusculaire. Pas un bégonia au rendez-vous du massif.

La compagnie de quelques grands auteurs ne te fait ni auteur ni grand mais fortifie tes vigilances de navigateur.

Quel instrument exprime le mieux la mélancolie la harpe, ou le violoncelle? Et l'angoisse le piano, ou le violon.

xxx

 

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